Estelle et Marc, la trentaine, est un couple qui traverse une période délicate. Licenciés tous les deux, les dettes s’accumulent.

Estelle est une sculpturale blonde, aux formes faites au tour, tandis que Marc est un véritable colosse, joueur de rugby dans l’équipe de la ville.

Fred, la soixantaine bien sonnée, est leur propriétaire. Il ne veut rien savoir sur les problèmes financiers du couple. Aussi, pour les loyers en retard, il exige que ses locataires se soumettent à tous ses caprices. Le couple est obligé d’accepté.

Tous les dimanches, Estelle et Marc se rendent au parc, promener leur bébé d’un an. Ils s’assoient sur banc attenant à une petite clairière.

-C’est dur mon chéri, dit Estelle, ce salaud en profite…allez, j’y vais. Occupes toi du petit. J’ai mis son biberon dans le sac.

Estelle arrive au milieu de la clairière, aperçoit Fred, entièrement nu, son énorme bite en érection. A son regard, elle devine ses exigences. Sans en attendre l’ordre, elle se déshabille, et tombe à genoux devant lui. Estelle saisit la queue à deux mains, et la prend en bouche. Fred se penche légèrement, saisit le bout d’un sein, qu’il fait rouler entre deux doigts. L’autre main maintient la tête de la jeune femme, rythme les va et vient sur sa bite. Estelle semble aimer ça. A tel point qu’elle glisse une main entre ses cuisses, et se caresse la chatte.

-Tu aimes sucer ma bite, hein ? Tu veux que je te baise…en levrette ?

-Oh oui, Monsieur, j’ai envie…ma petite chatte est toute mouillée.

Estelle se met en place, offre sa croupe cambrée à son propriétaire. La chatte est bien humide, la queue aussi. Une simple poussée, et les lèvres s’ouvrent comme par enchantement. L’énorme bite s’enfonce jusqu’aux couilles.

-Oh oui…oh oui…gémit Estelle…c’est bon Monsieur…allez-y…elle est bonne vôtre queue…

-A oui, meilleure que celle de ton mari.

-Oh oui, bien meilleure, je la sens bien, la sienne est plus petite…avec vous, je jouis au moins…oh putain, ça y est, je jouis…ah…ah…allez-y…défoncez moi la chatte…

-Salope…moi aussi je viens…han…

-Attendez, demande Estelle, crachez dans ma bouche…s’il vous plait. Après, j’irai montrer à mon mari comme j’avale. Je ne l’ai jamais fait à lui…

Sur le banc, Marc entend les cris de plaisir de son épouse. A tel point, que le bébé se réveille. Il lui remet vite sa tétine, mais rien n’y fait.

« C’est maman qui t’a réveillé, tu as entendu comme elle a crié, le vieux a du la faire jouir la salope, il a du la régaler…allez, rendors toi mon fils»

Sur ces entre faits, Estelle revient de ses ébats sexuels, la bouche fermée. Elle se plante devant son mari. Celui lève la tête, et vois son épouse avaler la semence du vieux pervers.

-Le salaud, dit-elle, qu’est-ce qu’il m’a mis…au fait, le petit a pleuré ?

-Oui, quand il t’a entendu crier.

-Allez, à ton tour, dit Estelle. Va te faire mettre un bon coup.

A son tour, Marc passe derrière la haie. Estelle tend l’oreille, pour capter ce qui se passe.

Fred l’attend, la bite toujours aussi raide, plaquée contre son ventre. Il s’approche de Marc, lui saisit l’oreille, et l’emmène près de la haie, pour que sa femme entende tout ce qu’il se passe. Fred oblige Marc à se mettre à genoux et le sucer. Il le félicite de la façon qu’il a pour tailler les pipes.

-Tu suces aussi bien que ta femme, petit cocu.

Puis Fred l’oblige à se mettre à quatre pattes. Avec deux doigts, il dilate le petit trou. Marc geint de douleur. Et le pire reste à venir. Fred fléchit sur ses jambes, place son gland au contact de la rosette de Marc. D’un coup sec, il enfonce son énorme queue, jusqu’aux couilles. Marc hurle de douleur.

-Aie…aie…ahou…vous me faites mal…hou…hou…

-Arrêtes de crier, gronde Fred, on dirait une femmelette.

Sur le banc, Estelle jubile d’entendre son mari. A tel point qu’elle ne peut s’empêcher de se caresser la chatte, jusqu’à l’orgasme. Derrière la haie, le ton à changé.

-Oh oui Monsieur, c’est bon d’avoir vôtre grosse bite dans le cul. Ah…salaud, vous êtes en train de me remplir…c’est chaud…allez-y, prenez tout vôtre temps pour vider vos grosses couilles…hum…hum…venez que je vous nettoie la queue avec ma langue…hum…hum…

Soudain, Estelle voit Fred sortir de derrière la haie, en tirant Marc par les couilles. Estelle retient un rire en voyant le petit oiseau de son colosse de mari, disparaitre dans la main du propriétaire, et se soumettre à lui, pourtant beaucoup plus petit que lui. En plus, Fred prend plaisir à l’humilier devant son épouse.

-Alors ma belle, qui est le mieux monté, dit-il en ouvrant la main.

-Y a pas photo, sourit Estelle, il y a dix centimètres d’écart.

C’est à ce moment que Fred sort un nouveau contrat.

Il est stipulé que trois fois par semaine, Estelle passera la nuit avec lui, et que Marc pourra assister aux débats amoureux de son épouse. Voir comment Fred s’amuse avec elle, comme il la fait crier de plaisir. Quant au paiement du loyer, c’est Marc qui le prendra en charge. Le dernier jour du mois, Marc passera la nuit avec le propriétaire, à se faire enculer et tailler des pipes. Estelle pourra participer à la soumission, et l’humiliation de son époux. Elle l’entendre gémir quand il se fera copieusement remplir le ventre. Et quel plaisir elle prendra, en voyant son mari tailler des pipes, et tout avaler.